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Cette jolie perruche, initialement décrite par le naturaliste suédois Anders Sparrman, donne son nom à une espèce singulière. On la connaît aussi sous le nom de Kakariki à front rouge. Explorons ses traits essentiels, sa vigueur, son tempérament ludique, ainsi que les conseils pour aménager un espace de vie adapté afin que sa captivité soit la plus agréable possible.
Kakariki à front rouge ou Perruche de Sparrman : traits principaux
La Perruche de Sparrman (Cyanoramphus novaezelandiae) appartient à l’ordre des Psittaciformes, à la famille des Psittacidae et au genre Cyanoramphus, dont elle est la représentation la plus fréquente. On la désigne également par l’appellation Kakariki à front rouge, mais dans le langage courant, on la nomme souvent Perruche Kakariki. Parmi les six sous-espèces existantes, deux ont disparu à l’état sauvage.
Son plumage est principalement vert, avec seulement ses grandes plumes d’ailes, appelées rémiges, teintées de bleu. Une zone rouge vif marque son front et s’étend au-delà des yeux. La taille adulte ne dépasse pas 29 cm, pour un poids maximal d’environ 110 g. Le mâle se distingue par un bec plus massif et une stature légèrement plus grande que celle de la femelle.
La durée de vie moyenne en milieu naturel oscille entre 6 et 10 ans, mais en captivité, cet oiseau peut atteindre 16 ans.
alimentation de la Perruche Kakariki
Ce perruche picore diverses graines trouvées au sol, consomme aussi des fruits et des baies issus d’arbres ou arbustes, et se nourrit occasionnellement d’insectes ou d’invertébrés. Parfois, elle consomme aussi de petits corps morts d’animaux.
repro public de la Kakariki à front rouge
Ce passereau exotique atteint sa maturité très précocement, pouvant commencer à nidifier dès l’âge de 4 mois. La reproduction produit en général au moins quatre œufs par couvée, mais il arrive qu’un couple en produise jusqu’à neuf, et ils peuvent faire jusqu’à trois pontes chaque année. La période d’incubation dure environ trois semaines, durant lesquelles seule la femelle nourrit les oisillons. Après cinq semaines, les jeunes quittent le nid, tandis que le mâle reprend la charge de leur alimentation lors du sevrage.
conseils pour élever une Perruche de Sparrman dans d’excellentes conditions
Facile à élever, cette espèce s’adapte bien à la vie en captivité. Cependant, pour garantir sa longévité, il est essentiel de lui offrir un espace de vie suffisamment vaste, idéalement une volière. La Perruche de Sparrman a besoin de voler quotidiennement pour rester en forme. La limiter à une cage trop petite peut conduit à des comportements compensatoires, notamment une suralimentation en graines de tournesol, ce qui peut endommager son foie et réduire son espérance de vie.
La meilleure option consiste à privilégier une volière. Elle doit être bien isolée des courants d’air, du gel, et des brouillards givrants. En règle générale, si l’espace est bien étanche aux vents froids, il n’est pas nécessaire de la chauffer. La taille idéale pour la volière doit avoisiner 4 mètres sur 4 mètres au minimum. La structure, en métal ou en bois, doit être équipée d’un grillage fin, en évitant le plastique.
Il est primordial de bannir les graviers, dangereux pour l’oiseau. À la place, une partie du sol peut rester en béton nu, tandis que le reste, notamment dans la zone de vol, doit comporter un sol naturel recouvert de feuilles, car la perruche aime fouiller son environnement.
Il est conseillé d’y installer :
- Un sas de sécurité pour éviter toute échappée lorsque vous pénétrez, la rapidité de cette perruche étant remarquable
- Une ambiance plutôt fraîche, car elle supporte mal les températures excessivement chaudes
- Une baignoire, car le bain lui procure beaucoup de plaisir. Il faut toutefois veiller à ce qu’elle ne reste pas trop longtemps dans l’eau, qui doit toujours être propre et renouvelée quotidiennement
- Des branches ou, si possible, de petits arbustes en pot ou des arbres fruitiers, car la perruche aime les baies, les fruits, et les bourgeons
- Des mangeoires et abreuvoirs avec de l’eau exempte de chlore et de pesticides, à changer quotidiennement
La nourriture de cette perruche doit être variée, principalement végétale, en complément de quelques larves ou insectes. L’objectif est de couvrir tous ses besoins nutritionnels, notamment avec :
- Des fruits frais comme baies, poire, pomme, fruits rouges, banane, abricot, figue, datte ou raisin
- Des légumes tels que chou, carotte, laitue, endive, concombre, céleri ou épinard
- Des plantes comme le plantain ou le pissenlit
- Du maïs doux
- Des graines germées, des graines de tournesol, ainsi que des coquilles d’os de seiche
- Des compléments alimentaires : millet en grappes, aliments en pâtée pour frugivores ou semi-humides à base d’œufs
Il faut faire très attention, certains aliments étant toxiques pour cette espèce, notamment le chocolat, la pomme de terre crue, les sucreries, le café, la rhubarbe, l’avocat ou le persil.
Il est souvent préférable d’élever un couple de perruches Kakariki plutôt qu’un seul individu. Très attachantes, elles manifestent beaucoup de curiosité et aiment répéter certains mots. Faciles à apprivoiser, elles s’approchent volontiers de leur propriétaire et mangent directement dans la main.
Crédit photo : Lesleywebb
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